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Le fesseur aime fesser. Il aime la crainte qu'il inspire à sa victime, il aime
sa passivité obéissante lorsqu'il la déculotte ou qu'il lui ordonne de le faire...
Il aime surtout voir et toucher les fesses de sa victime ; de ce fait, le plus
souvent sa victime appartiendra au sexe qu'il convoite c'est a dire le sexe
opposé s'il est hétérosexuel ou le sien s'il est homosexuel (ou n'importe lequel
s'il est bisexuel) ceci même s'il n'est pas question de relations sexuelles.
Le fesseur prend ensuite un grand plaisir à claquer les fesses offertes à son
bon plaisir, à les voir rougir, se trémousser, rebondir et rester dociles sous
sa main. Ce spectacle et ce contact sont extrêmement excitant et jouissifs pour
lui, autant et même parfois plus qu'un rapport sexuel...
Elle aime être fessée. Elle apprécie énormément ce subtil mélange d'excitation
et d'angoisse qui vont croissant dans les heures qui précédent son rendez-vous
avec son fesseur. Un auteur -je ne sais plus qui- a dit que le meilleur moment
de l'amour est quand on monte l'escalier [pour aller dans la chambre], eh bien
pour la victime ceci est analogue à son état d'esprit lorsqu'elle sait qu'elle
va subir la fessée, qu'elle va devoir abandonner toute pudeur, être déculottée,
montrer ses fesses et son sexe, être mise dans une position affreusement humiliante
et subir le feu sur ses fesses nues.
La victime est également troublée par le désir sexuel qu'elle ressent chez son
fesseur ; pour cette raison elle préférera elle aussi un fesseur du sexe qu'elle
convoite (même s'il n'est pas question d'acte sexuel). Cependant cette dernière
préférence est moins marquée pour la victime que pour le fesseur ; ainsi une
victime hétérosexuelle se laissera assez volontiers fesser par un partenaire de
son sexe que ce soit par commodité pour les hommes (impossible de trouver une
fesseuse non vénale) ou par sécurité pour les femmes (pas de risques de se faire
violer).
Pendant la fessée, la victime ressent avec une immense acuité le spectacle qu'elle
offre tandis qu'elle se fait déculotter puis mettre en position... Cette terrible
humiliation et atteinte à sa pudeur est extrêmement troublante pour elle. Puis
tandis que les claques s'abattent sur son verso et qu'elle doit subir leur terrible
brûlure, elle reste constamment consciente que malgré elle ses fesses se colorent,
bondissent, que ses jambes bougent et s'écartent, bref qu'en plus du feu qu'elle
ressent aux fesses, elle devient de plus en plus impudique, plus nue que nue...
Mais pour que cette émotion soit réelle, il faut qu'elle ose aller au delà du
fantasme -qui la satisfait longtemps- et passer à l'acte.
Les motivations du fesseur
Ce n'est pas une règle absolue (j'ai déjà eu affaire à des fesseurs masculins
et hétérosexuels) mais c'est tout de même le cas le plus répandu.
Les motivations de la victime
Ce trouble est terriblement fort et atteint son maximum lorsque que la victime est
face à son fesseur et que la correction est devenue inévitable. Ceci est encore
accentué lorsqu'il y a des témoins à la fessée : il y a une part certaine
d'exhibitionnisme dans la victime.